La violence télévisée
Beaucoup de gens croient, à tort ou à raison, que la violence etle crime augmentent
dans notre société. Pourcertains, ce qu’ils voientà la télévision, dansles films ou
les séries policièrespar exemple, leur semblela réalité. Aussi, quandils visionnent
les actualités, ils s’imaginent qu’ils viennent de consommer une extension de la
fiction.
Il y a les autres qui nes’étonnent plus de la brutalitéqu’on trouvedans beaucoup
d’émissions parce qu’ilss’y habituentou même, s’en amusent. Tout ce qu’ils
regardent les amène à ne plus rien ressentir. Tout le monde ne se comporte pas
ainsi, mais il n’en demeure pas moins que les différentes formes deviolence qu’on
véhicule à la télé insensibilisent un certain nombre depersonnes qui supportent
mieux que d’autres, on dirait, des scènes disgracieuses.
L’État, lespropriétaires de stations de télé, les censeurs, les téléspectateurs,
tous réclament des lois à grands cris, mais personne n’acquiesce aux propositions
émises par les intervenantsconcernés. Chacun possèdesa propre perception dece
que devraient être des émissions dites « saines ».Pendant qu’on s’interroge,les
points de vue ne cessent de se multiplier et l’opinion publique s’impatiente. Bref,
on piétine.
Beaucoup de gens croient, à tort ou à raison, que la violence etle crime augmentent
dans notre société. Pourcertains, ce qu’ils voientà la télévision, dansles films ou
les séries policièrespar exemple, leur semblela réalité. Aussi, quandils visionnent
les actualités, ils s’imaginent qu’ils viennent de consommer une extension de la
fiction.
Il y a les autres qui nes’étonnent plus de la brutalitéqu’on trouvedans beaucoup
d’émissions parce qu’ilss’y habituentou même, s’en amusent. Tout ce qu’ils
regardent les amène à ne plus rien ressentir. Tout le monde ne se comporte pas
ainsi, mais il n’en demeure pas moins que les différentes formes deviolence qu’on
véhicule à la télé insensibilisent un certain nombre depersonnes qui supportent
mieux que d’autres, on dirait, des scènes disgracieuses.
L’État, lespropriétaires de stations de télé, les censeurs, les téléspectateurs,
tous réclament des lois à grands cris, mais personne n’acquiesce aux propositions
émises par les intervenantsconcernés. Chacun possèdesa propre perception dece
que devraient être des émissions dites « saines ».Pendant qu’on s’interroge,les
points de vue ne cessent de se multiplier et l’opinion publique s’impatiente. Bref,
on piétine.